« Toute la douleur qu’elle engendre et la haine qu’elle engendre parmi les générations futures devraient nous convaincre que chaque guerre laisse le monde dans un état pire que celui dans lequel elle l’a trouvé », a-t-il déclaré à l’occasion de la célébration du dixième anniversaire de l’invocation de la paix en Terre Sainte, organisée à l’époque par l’ancien président israélien Shimon Peres et Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne.
« Je demande chaque jour que cette guerre prenne fin. Je médite sur tous ceux qui souffrent, en Israël et en Palestine : chrétiens, juifs et musulmans, a ajouté le pape argentin. »
« Je me rends compte à quel point il est essentiel qu’à partir des ruines de Gaza, la décision de faire taire les armes soit enfin prise et, par conséquent, je propose un cessez-le-feu. J’ai une pensée pour les membres de la famille et les otages israéliens et j’espère qu’ils seront libérés si possible. « En pensant à la population palestinienne, j’espère qu’elle sera protégée et qu’elle bénéficiera de toute l’aide humanitaire nécessaire », a répété le pape François ».
Le Pape a souligné que nous devons tous collaborer et nous engager pour parvenir à une paix durable, où l’État de Palestine et l’État d’Israël pourront vivre ensemble, en éliminant les obstacles de l’inimitié et de la haine.
Le pape François a conclu en déclarant : « Il est essentiel que nous appréciions Jérusalem pour qu’elle devienne la ville de rencontre fraternelle entre chrétiens, juifs et musulmans, protégée par un statut spécial garanti au niveau international », après l’annexion de Jérusalem-Est par Israël.
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